L’économie circulaire est un modèle économique dans lequel la planification, les ressources, l’approvisionnement, la production et le retraitement sont conçus et gérés, à la fois comme processus et comme extrant, afin de maximiser le fonctionnement de l’écosystème et le bien-être humain.

Un objectif est de tendre vers 100% de recyclage des emballages en plastique à usage unique d’ici le 1er janvier 2025 et pour y parvenir un objectif que les emballages en plastique à usage unique mis sur le marché soient recyclables, ne perturbent pas les chaînes de tri ou de recyclage, ne comportent pas de substances ou éléments susceptibles de limiter l’utilisation du matériau recyclé.

Notre projet porte sur la valorisation d’aliments qui sont perdus tout le long de la chaine de la production à la consommation.
45% des consommateurs pensent que le gâchis alimentaire est une fatalité et de plus, en moyenne 27% de la production agricole initiale est perdue entre les pertes au champ et les pertes aux étapes de triage, calibrage, conditionnement et expédition[1]

• Approvisionnement durable : élaboration et mise en œuvre d’une politique d’achats responsables (sélection des fournisseurs sur des critères environnementaux, accompagnement des fournisseurs dans l’amélioration de leurs pratiques etc.).
• Écoconception : démarche qui consiste à diminuer, dès sa phase de conception, les impacts environnementaux d’un produit ou d’un service tout au long de son cycle de vie.
• Écologie industrielle et territoriale : recherche de synergies éco-industrielles à l’échelle d’une zone d’activités ; les déchets d’une entreprise pouvant devenir les ressources d’une autre.
• Économie de la fonctionnalité : forme d’économie collaborative qui privilégie l’usage à la possession et tend ainsi à vendre des services liés aux produits plutôt que les produits eux-mêmes.
• Consommation responsable : consommation raisonnée et orientation de ses choix de produits en fonction de critères sociaux et écologiques.
• Allongement de la durée d’usage par le recours au réemploi, à la réparation et à la réutilisation (pour comprendre la différence entre ces trois notions, découvrir le schéma proposé par l’ADEME).
• Recyclage : traitement et valorisation des matières contenues dans les déchets collectés.

[1] https://librairie.ademe.fr/consommer-autrement/4857-operation-temoin-fruits-et-legumes-des-solutions-pour-reduire-les-pertes-et-gaspillages-alimentaires.html

Notre entreprise doit être réactive aux changements environnementaux et géopolitiques, même si nous sommes dans un microcosme qui porte un projet d’envergure mondiale (tout le monde est touché par les manquements alimentaires) nous n’allons pas changer le monde, mais nous allons contribuer à le rendre meilleur. Pour cela nous devons nous adapter aux changements et avoir une vision élargie sur les possibilités qui se présentent à nous. C’est un engagement qui se retrouve dans la pérennisation de nos valeurs